MISE AU POINT DES FORCES DEMOCRATIQUES DE LIBERATION DU RWANDA (FDLR) SUR LES FAUSSES ALLEGATIONS DU MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES DU RWANDA - NON : LES FDLR NE SONT PAS UNE ORGANISATION TERRORISTE

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MISE AU POINT DES FORCES DEMOCRATIQUES DE LIBERATION DU RWANDA (FDLR) SUR
LES FAUSSES ALLEGATIONS DU MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES DU RWANDA A
L’ENCONTRE DES FDLR.

NON : LES FDLR NE SONT PAS UNE ORGANISATION TERRORISTE

Dans sa criminelle entreprise de déstabilisation de l’Afrique et spécifiquement de la Région des Grands Lacs Africains, le régime du Front Patriotique Rwandais – FPR Inkotanyi de Paul Kagame s’est toujours défaussé de ses crimes sur les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda en entretenant un amalgame grossier qui ne saurait indéfiniment perdurer.
En effet, la clique de malfaiteurs qui tient les rênes du Rwanda de main de fer jouit depuis près de trois
décennies d’une notoriété de gentils alors qu’elle n’est qu’une force obscure et cynique dont les actions ne répondent qu’à un schéma prémédité de haine, de lucre et de spoliation.
Dès les années 1990, période où l’ex-mouvement rebelle du Front Patriotique Rwandais a débuté sa saga
meurtrière contre le Rwanda, les organismes non-gouvernementaux et les médias internationaux ont été mis à contribution pour donner en pâture les autorités politiques en place dont le crédo avait pourtant toujours été la concorde entre les trois composantes ethniques de la population rwandaise et la paix véritable. Crédo d’ailleurs traduit à sa plus haute expression par la signature de l’Accord de Paix d’Arusha en Août 1993, étouffé dès son lancement par ceux qui craignaient le processus démocratique qui s’enclenchait au Rwanda.
La plupart des arguments qui ont poussé au lynchage international du pouvoir de feu Président Juvénal
HABYARIMANA et de la majeure partie du peuple rwandais étaient le fait d’un montage de cette clique qui
avait infiltré non seulement toutes les instances politiques et militaires du pays mais aussi la balbutiante société civile qui naissait au Rwanda.
Toutes les exactions du FPR, que ce soit la déstabilisation politique du Burundi, les assassinats à grande échelle au Rwanda, la prédation des biens d’autrui à l’intérieur et à l’extérieur du pays, celle des ressources naturelles en République Démocratique du Congo, en Afrique Australe et en Centrafrique procèdent du même registre «d’accusation en miroir» de future victime et de camouflage de son rôle de véritable bourreau.
Tous les crimes attribués faussement aux Forces Démocratiques de Libération du Rwanda, dont se font échos les sociétés civiles et les médias internationaux ont été le fait du régime de Paul Kagame et/ou de ses hommes liges qu’il a placés à cette fin, dans différentes instances internationales.
Les services de renseignement du Canada, de la Grande Bretagne, de la Belgique, de l’Australie et des EtatsUnis d’Amérique pour ne citer que ceux-là peuvent en témoigner. Leurs archives sont assez bien documentées.
Les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda ne sont et ne peuvent être autre chose qu’une initiative de sauvegarde et de protection des survivants des laissés-pour-compte par la Communauté Internationale sur instigation de leur bourreau qu’est FPR-Inkotanyi à la tête duquel trône Paul Kagame

Les massacres à grande échelle d’enfants, femmes, jeunes et moins jeunes qui se sont étendus jusqu’à
Mbandaka (RDC) par les soldats de Kagame ne se seraient pas arrêtés si cette salubre initiative des FDLR
n’avait pas eu lieu.
Les accusations en miroir dont Paul Kagame use et abuse comme dans le dossier « Rwindi », une affaire qui s’est déroulée sur le territoire Ougandais et dont les conclusions juridiques non équivoques ont été établies par une des cours les plus fiables des USA ainsi que ses perpétuelles ingérences dans les pays tiers ne devraient dorénavant plus continuer à être tolérées par la Communauté internationale.
L’arrogance aux relents suprématistes qui poussent Paul Kagame et son régime à apostropher les Etats modèles en matière de démocratie et de respect des droits humains comme les Etats Unis d’Amérique, est un scandale qui met mal à l’aise les rwandais et les pays voisins qui connaissent très bien ces fascistes au regard du rôle plus que trouble dans les différents crimes que connait la Région des Grands Lacs Africains depuis 1986, année où il a intégré la rébellion de la NRA de Museveni en Ouganda.
La position de chantage et de donneur de leçon de Paul Kagame doit rapidement prendre fin si l’on veut éviter de revivre les affres de la peur et de désolation de peuples innocents de la Région des Grands Lacs Africains et possiblement de toute l’Afrique.
Les forces Démocratiques de Libération du Rwanda, qu’on se le dise une fois pour toute, ne sont pas une
organisation terroriste ; elles n’ont jamais terrorisé personne comme le prétend le porte-parole du régime
fasciste du FPR-Inkotanyi de Paul Kagame en place à Kigali.
La seule terreur qui existe dans la Région des Grands Africains, est celle qu’exerce une clique de gens qui
procède à une argumentation à « géométrie variable » pour donner sens à l’injustifiable génocide en cours en République Démocratique du Congo depuis 1996, génocide qui a été documenté dans le Mapping Report par des experts des Nations Unies en 2010. La terreur dans la Région est celle de l’assassin de trois présidents celui du Rwanda Juvénal HABYARIMANA, du Burundi Cyprien NTARYAMIRA et de la RDC Laurent-Désiré
KABILA. C’est la même terreur du fossoyeur du clergé rwandais en 1994, de l’assassin de plus de 8000 civils dans les camps de déplacés internes à Kibeho au Sud du Rwanda, de Seth SENDASHONGA, Théoneste LIZINDE, Patrick KAREGEYA, de KIZITO MIHIGO et j’en passe.
L’organisation terroriste est celle qui emprisonne les membres de la famille RWIGARA Assinapol et en tue un bon nombre, celle qui embastille tous les opposants réels ou supposés à son pouvoir comme Mme Victoire UMUHOZA, Paul RUSESABAGINA et même des avocats étrangers comme l’américain Peter ERLINDER.
C’est aussi celle qui pousse son peuple dans des guerres sans fin dans les pays limitrophes.
Les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda appellent les autorités des Etats Unis à disqualifier la
clique qui est au pouvoir au Rwanda en lui retirant tout soutien et/ou confiance dont elle jouit depuis plus de trois décennies et de prendre une définitive distance des personnages complices qui continuent à graviter autour de Kagame.
Les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda offrent à la Communauté Internationale et à toute
personne physique ou morale, leur disponibilité pour les actions à valeurs ajoutées devant asseoir une paix durable dans la Région des Grands Lacs Africains.

Fait le 24 Février 2024

CURE-NGOMA

Commissaire à l’information et Porte-parole des FDLR

PDF: Communiqué de presse des FDLR N° 01-2024

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